Le 14 juillet ,2013 vers 14 heures, Mme Rossignol retire de l’argent au distributeur automatique d’une banque de la place Saint-Jacques à Compiègne.
Un homme lui vole l’argent, elle le poursuit dans la rue.
« Tout le monde était comme tétanisé, raconte-t-elle. Je demandais de l’aide pour l’arrêter. Une seule personne lui aurait sauté dessus ou simplement fait un croche-patte, en trente secondes, on le maîtrisait. »
. « Ce n’était pas le Compiègne désert. Il y avait du monde aux restaurants voisins », témoigne-t-elle.
Plein de choses ne se passeraient pas si les gens se bougeaient. Il y a un problème d’implication. Est-ce que nous sommes de simples spectateurs et commentateurs du monde dans lequel on vit, et pas des acteurs, des gens qui réagissent ? Quand vous criez « Au secours ! », personne ne bouge maintenant. Si j’avais reçu ne serait-ce que l’aide d’une seule personne… »
Zorro n'a pas aidé Madame Rossignol
Revenons à un sujet sérieux;
LE SYNDROME D’ALIÉNATION PARENTALE
Mme Rossignol: « La première des protections est collective, c’est la solidarité.
Allo...
Non, mais, allo, quoi...
« Les seuls êtres vivants que l'on peut frapper sans justifier que l'on puisse intervenir, ce sont les enfants. Il y a probablement quelque chose à travailler collectivement…»,
a souligné la secrétaire d'État, qui n'envisage pas de loi pour le moment.
Novembre 2014
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