lundi 27 avril 2015

On demande un super héros pour vaincre le syndrome d'aliénation parentale

Le 14 juillet ,2013 vers 14 heures, Mme Rossignol retire de l’argent au distributeur automatique d’une banque de la place Saint-Jacques à Compiègne.
 Un homme lui vole l’argent, elle le poursuit dans la rue.
« Tout le monde était comme tétanisé, raconte-t-elle. Je demandais de l’aide pour l’arrêter. Une seule personne lui aurait sauté dessus ou simplement fait un croche-patte, en trente secondes, on le maîtrisait. »
. « Ce n’était pas le Compiègne désert. Il y avait du monde aux restaurants voisins », témoigne-t-elle.
Plein de choses ne se passeraient pas si les gens se bougeaient. Il y a un problème d’implication. Est-ce que nous sommes de simples spectateurs et commentateurs du monde dans lequel on vit, et pas des acteurs, des gens qui réagissent ? Quand vous criez « Au secours ! », personne ne bouge maintenant. Si j’avais reçu ne serait-ce que l’aide d’une seule personne… »


Zorro n'a pas aidé Madame Rossignol



Revenons à un sujet sérieux;


LE SYNDROME D’ALIÉNATION PARENTALE

Mme Rossignol:  « La première des protections est collective, c’est la solidarité.


Allo...
Non, mais, allo, quoi...


« Les seuls êtres vivants que l'on peut frapper sans justifier que l'on puisse intervenir, ce sont les enfants. Il y a probablement quelque chose à travailler collectivement…»,
 a souligné la secrétaire d'État, qui n'envisage pas de loi pour le moment.
Novembre 2014



Dixit, Rossignol, le SAP est une spécialité française



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