mercredi 22 avril 2015

Les vaccins contrôlés par l'ASE


Seconde partie du témoignage précédent.


Les sages ont tranché : des parents n'ont pas le droit de soustraire leurs enfants à la vaccination obligatoire contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite.
Pauline Fréour - le 20/03/2015  Source Le Figaro

Exiger que des parents vaccinent leurs enfants n'est pas contraire à la Constitution. C'est la décision rendue par les sages du Conseil constitutionnel vendredi, appelés à se prononcer sur le cas de Marc et Samia Larère, convoqués devant le tribunal correctionnel d'Auxerre parce qu'ils refusent de vacciner leurs deux enfants comme le code de la santé publique les y oblige.

Le couple avait soumis à la justice une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) sur l'obligation vaccinale, qui concerne en France trois maladies: la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite. Les Larère justifiaient leur refus d'immuniser leurs enfants par trois arguments: ces trois maladies ont quasiment disparu en France, les vaccins présents sur le marché présentent à leurs yeux trop de risques et il n'existe plus de vaccin DTP seul, les modèles commercialisés hexavalents rajoutant des protections à d'autres souches comme l'hépatite B.

Ce couple avait donc les mêmes préoccupations 
que le couple de parents sympathiques 
persécutés par l'ASE

À l'annonce de cette décision, l'avocat des 
Larère, Me Emmanuel Ludot, a fait part de sa
 déception. «J'espérais qu'on allait mettre fin  
à un siècle de stalinisme vaccinal mais ce 
n'est pas le cas. Notre combat continuera 
sous d'autres formes», a-t-il déclaré.

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