1. Acte I : Gai, Gai, Marions nous.
2. Acte II : Aie, Aie Séparons nous.
Environ 120 000 enfants
voient leurs parents divorcer chaque année.
1-Gai, gai
2-Aie, aie....
Acte III- N'embarquons pas, nos enfants dans des galères
Le Collectif :
« Osons l’Egalité Parentale
Pour
Nos Enfants ! »
Dossier présenté par Mme CHESSEBOEUF,
M CIESIELSKI et
M. OLLIVIER.
A propos des attentes de parents et d’enfants
concernant le respect du droit de l’enfant
à ses deux parents
.
Le 18 décembre 2014
A Madame la Ministre de la Justice,
Christiane TAUBIRA
Aux bons soins de Madame Céline ROUX,
Conseillère droit de la famille
Le 9 septembre 2014, Madame Christiane TAUBIRA, Garde des Sceaux s’est ainsi exprimée
lors de la présentation d’une série de mesures à la presse pour « Faciliter l’accès à la justice
pour tous » : « Les histoires d’amour sont toutes douloureuses parce que c’est irrationnel.
Je peux donc comprendre et entendre les souffrances. Y compris celles des hommes
puisque nous sommes égales et égaux devant les souffrances du cœur ».
Le 30 janvier 2014, lors des États Généraux du Droit de la Famille Madame Christiane
TAUBIRA avait déjà dit : « La recherche d’une plus grande égalité entre les hommes et les
femmes ou la prise en compte de l’intérêt de l’enfant dans la séparation sont des
problématiques qui font avancer le droit de la famille ».
La société évolue, « le mariage pour tous » a enrichi le champ des libertés de notre
démocratie et est aujourd'hui plébiscitée par une grande majorité de Français.
Pourtant il reste un domaine où le droit reste encore trop souvent bafoué, il s’agit des très
nombreuses situations d’absence de respect du droit de l’enfant à ses deux parents lors de
séparation/divorce.
Ce présent document s’efforce de mettre en relief ces situations dramatiques.
Nous tenons à souligner en préalable à cette lecture qu’il n’y a pas de parti pris de notre part
en faveur du parent d’un sexe aux dépens de l’autre, car les discriminations pour des raisons
diverses touchent les parents des deux sexes,
Le 4 juillet 2014, au terme d’une marche qui l’a amené de St Étienne (Loire) à Paris devant le
Ministère de la Justice, Monsieur Olivier RIVOIRE, papa dont les enfants ont été emmenés à
700 kms de leur ancien domicile familial par la maman, entendait ainsi sensibiliser l’opinion
publique et Madame la Ministre de la Justice sur les drames occasionnés par le phénomène
d’éloignement géographique volontaire sur le lien enfants/père
. Il était accompagné d’un
autre père, Monsieur Frédéric ESPINOUSSE de Clermont- Ferrand, lui aussi dans cette
situation.
En septembre 2014
Monsieur Jésus de la ARENA
mena une action auprès
du Tribunal de Clermont-Ferrand ...
Monsieur Jésus de la ARENA
mena une action auprès
du Tribunal de Clermont-Ferrand ...
... puis ce fut le tour d’Éric à Melun .
Si depuis le printemps 2013 les actions de parents se font régulières, c’est qu’un fossé
sépare les décisions de la Justice Familiale des attentes légitimes de parents et d’enfants qui
souhaitent continuer de tisser des liens véritables et ne veulent voir se briser leur amour
réciproque.
Leur histoire commune ne saurait se restreindre à un pitoyable « droit » de visite
et d’hébergement réduit à la portion congrue de 4 jours chaque mois . Comment ce rythme
qui ne permettrait à aucun couple amoureux de perdurer durant des années pourrait-il être
viable pour un couple enfant/parent ?
Ce temps qui passe et voit des liens parents enfants se distendre ou se rompre explique la
mise en ligne par des parents désespérés d’une pétition qui réclame la sanction des
magistrats mis en cause
Les témoignages égrenés tout le long de ce document sont là pour rappeler le quotidien des
parents qui se battent pour le rester et qui souffrent. Nos réflexions ambitionnent de mettre
fin à ces situations familiales irrationnelles et de faire avancer une cause pour laquelle notre
pays est loin de respecter les engagements qu’il a pris en signant la Convention
Internationale des Droits de l’Enfant6 (Voir les articles 7, 8 et 9 particulièrement). C’est aussi
ce qu’exprime à sa façon Mme Sophie Graillat, Présidente de l’association Défense des
Enfants International qui expertise l’application de la CIDE
QUE DEVIENNENT
TOUS NOS TÉMOIGNAGES?
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