mardi 21 avril 2015

Gai, gai, marions nous

1. Acte   I :  Gai, Gai, Marions nous.
2. Acte  II : Aie, Aie  Séparons nous.

Un mariage sur deux se termine par un divorce en France, d’après l’Institut national de la statistique et des études économiques.

 Environ 120 000 enfants
 voient leurs parents divorcer chaque année.


1-Gai, gai



2-Aie, aie....


Acte III- N'embarquons pas, nos enfants dans des galères


Le Collectif : « Osons l’Egalité Parentale Pour Nos Enfants ! »

Dossier présenté par Mme CHESSEBOEUF, M CIESIELSKI et M. OLLIVIER.


A propos des attentes de parents et d’enfants 
concernant le respect du droit de l’enfant à ses deux parents
. Le 18 décembre 2014

A Madame la Ministre de la Justice, Christiane TAUBIRA 
Aux bons soins de Madame Céline ROUX, Conseillère droit de la famille 


Le 9 septembre 2014, Madame Christiane TAUBIRA, Garde des Sceaux s’est ainsi exprimée lors de la présentation d’une série de mesures à la presse pour « Faciliter l’accès à la justice pour tous » : « Les histoires d’amour sont toutes douloureuses parce que c’est irrationnel. Je peux donc comprendre et entendre les souffrances. Y compris celles des hommes puisque nous sommes égales et égaux devant les souffrances du cœur ». Le 30 janvier 2014, lors des États Généraux du Droit de la Famille Madame Christiane TAUBIRA avait déjà dit : « La recherche d’une plus grande égalité entre les hommes et les femmes ou la prise en compte de l’intérêt de l’enfant dans la séparation sont des problématiques qui font avancer le droit de la famille ».


 La société évolue, « le mariage pour tous » a enrichi le champ des libertés de notre démocratie et est aujourd'hui plébiscitée par une grande majorité de Français. Pourtant il reste un domaine où le droit reste encore trop souvent bafoué, il s’agit des très nombreuses situations d’absence de respect du droit de l’enfant à ses deux parents lors de séparation/divorce. Ce présent document s’efforce de mettre en relief ces situations dramatiques.

Nous tenons à souligner en préalable à cette lecture qu’il n’y a pas de parti pris de notre part en faveur du parent d’un sexe aux dépens de l’autre, car les discriminations pour des raisons diverses touchent les parents des deux sexes,



 Le 4 juillet 2014, au terme d’une marche qui l’a amené de St Étienne (Loire) à Paris devant le Ministère de la Justice, Monsieur Olivier RIVOIRE, papa dont les enfants ont été emmenés à 700 kms de leur ancien domicile familial par la maman, entendait ainsi sensibiliser l’opinion publique et Madame la Ministre de la Justice sur les drames occasionnés par le phénomène d’éloignement géographique volontaire sur le lien enfants/père
. Il était accompagné d’un autre père, Monsieur Frédéric ESPINOUSSE de Clermont- Ferrand, lui aussi dans cette situation.

En septembre 2014
 Monsieur Jésus de la ARENA
 mena une action auprès 
du Tribunal de Clermont-Ferrand ...

... puis ce fut le tour d’Éric à Melun .

Si depuis le printemps 2013 les actions de parents se font régulières, c’est qu’un fossé sépare les décisions de la Justice Familiale des attentes légitimes de parents et d’enfants qui souhaitent continuer de tisser des liens véritables et ne veulent voir se briser leur amour réciproque.

 Leur histoire commune ne saurait se restreindre à un pitoyable « droit » de visite et d’hébergement réduit à la portion congrue de 4 jours chaque mois . Comment ce rythme qui ne permettrait à aucun couple amoureux de perdurer durant des années pourrait-il être viable pour un couple enfant/parent ? 


Ce temps qui passe et voit des liens parents enfants se distendre ou se rompre explique la mise en ligne par des parents désespérés d’une pétition qui réclame la sanction des magistrats mis en cause

Les témoignages égrenés tout le long de ce document sont là pour rappeler le quotidien des parents qui se battent pour le rester et qui souffrent. Nos réflexions ambitionnent de mettre fin à ces situations familiales irrationnelles et de faire avancer une cause pour laquelle notre pays est loin de respecter les engagements qu’il a pris en signant la Convention Internationale des Droits de l’Enfant6 (Voir les articles 7, 8 et 9 particulièrement). C’est aussi ce qu’exprime à sa façon Mme Sophie Graillat, Présidente de l’association Défense des Enfants International qui expertise l’application de la CIDE




QUE DEVIENNENT 
TOUS NOS TÉMOIGNAGES? 


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