I. LA VIOLENCE SUBIE PAR LES FEMMES ET LES ENFANTS
- Logique même de la condition féminine, la violence contre les femmes est supportée comme une fatalité par les victimes devenues dans le mariage propriété légale de l’homme.
Vivant dans la terreur permanente des coups à laquelle s’associent fréquemment séquestration et chantage à l’enfant, ces femmes sont marquées jusqu’au plus profond de leur être physique, moral et psychique.
L’ampleur de ce phénomène à l’échelon national et international (Bruxelles, mars 1976) nous a conduites à essayer de l’expliquer et d’y pallier par la mise en place de structures d’accueil et d’entr’aide.
Vivant dans la terreur permanente des coups à laquelle s’associent fréquemment séquestration et chantage à l’enfant, ces femmes sont marquées jusqu’au plus profond de leur être physique, moral et psychique.
L’ampleur de ce phénomène à l’échelon national et international (Bruxelles, mars 1976) nous a conduites à essayer de l’expliquer et d’y pallier par la mise en place de structures d’accueil et d’entr’aide.
Toutes les classes de la société sont touchées par ce fléau et les hommes qui maltraitent leurs femmes ne sont pas des fous. Si on leur accorde facilement comme circonstances atténuantes : l’éthylisme, la paranoïa ou la perversité, c’est qu’il faut bien expliquer au public de façon plausible, le comportement féroce d’un être doué de raison vis-à-vis de la personne qu’il a choisie librement et qu’il dit aimer ! ...
- QU’AVONS-NOUS CONSTATE CHEZ LES FEMMES BATTUES QUE NOUS AVONS EXAMINEES ?
- Bien qu’aucune étude n’ait été faite jusqu'à nos jours sur cette pathologie précise (grave lacune s’il en est une ! ... il suffit, pour s’en persuader, de consulter les fichiers bibliographiques du C.N.R.S., de la faculté de Médecine, de la Bibliothèque de Sociologie, etc.) notre expérience débutante, notre approche de quelques-unes de ces malheureuses nous ont permis de découvrir certaines perturbations fréquentes.
Sont communs à toutes les femmes battues les sentiments de honte et de culpabilité : honte d’être avilie et dégradée physiquement et moralement; culpabilité vis-à-vis du mari et des enfants qui traduit des siècles de sacrifice et de soumission de la Femme.
Sont communs à toutes les femmes battues les sentiments de honte et de culpabilité : honte d’être avilie et dégradée physiquement et moralement; culpabilité vis-à-vis du mari et des enfants qui traduit des siècles de sacrifice et de soumission de la Femme.
De plus, s’associent des troubles psychiques (anxiété, névrose d’angoisse, syndrome dépressif, manque de confiance en soi, irritabilité; céphalées, cauchemars ou insomnies); des traumatismes physiques (ecchymoses, hématomes, plaies, fractures, cicatrices); un état de dénutrition (chute de poids, anémie, troubles hydro-électrolytiques) surtout rencontré chez celles qui ont été séquestrées; des altérations endocriniennes principalement gynécologiques avec perturbations des cycles menstruels, frigidité, avortements répétés, et/ou accouchements prématurés, ce qui implique la mise en couveuse des nouveaux-nés - d’où un investissement financier - et une moindre résistance ultérieure de ces enfants aux affections.
- Si le cas des femmes battues n’a pas été jugé suffisamment intéressant pour justifier des études scientifiques, il n’en est pas de même de celui des enfants battus qui a fait l’objet de multiples articles et Congrès médicaux.
C’est poser le problème de l’enfant non désiré (pas de contraception, avortement impossible), de la perturbation des relations parentales (femme elle-même battue et souvent agressée devant ses propres enfants).
" Un enfant battu est un enfant en danger de mort " car la violence laissée à elle-même est sujette à l’escalade. Ces petits êtres traumatisés font de mauvais élèves, des adolescents inadaptés, porte ouverte à la délinquance juvénile, des adultes violents mal intégrés dans la société parfois à l’origine de parents maltraitants. Ceci, nous le pensons, est surtout valable pour les garçons, quoique les études effectuées ne tiennent pas compte du sexe. D’après notre expérience personnelle nous avons noté des comportements différents chez les petites filles,les coups rendront la fillette, non pas violente et agressive comme le garçonnet, mais au contraire passive craintive et résignée, terrain propice au développement d’une femme soumise et complexée,: le schéma millénaire " dominant-dominée ", " maître-esclave ", " homme-femme " est ici poussé à son paroxysme.
C’est poser le problème de l’enfant non désiré (pas de contraception, avortement impossible), de la perturbation des relations parentales (femme elle-même battue et souvent agressée devant ses propres enfants).
" Un enfant battu est un enfant en danger de mort " car la violence laissée à elle-même est sujette à l’escalade. Ces petits êtres traumatisés font de mauvais élèves, des adolescents inadaptés, porte ouverte à la délinquance juvénile, des adultes violents mal intégrés dans la société parfois à l’origine de parents maltraitants. Ceci, nous le pensons, est surtout valable pour les garçons, quoique les études effectuées ne tiennent pas compte du sexe. D’après notre expérience personnelle nous avons noté des comportements différents chez les petites filles,les coups rendront la fillette, non pas violente et agressive comme le garçonnet, mais au contraire passive craintive et résignée, terrain propice au développement d’une femme soumise et complexée,: le schéma millénaire " dominant-dominée ", " maître-esclave ", " homme-femme " est ici poussé à son paroxysme.
En définitive le problème des femmes et des enfants battus est lié.
- QUELLE AIDE LES SERVICES ETATISES APPORTENT-ILS AUX FEMMES BATTUES LORSQU’ELLES QUITTENT LEUR FOYER ?
- La dépendance économique et/ou affective de ces femmes vis-à-vis de leur mari est un frein à l’abandon du domicile conjugal, mais cette décision est prise d’autant plus vite que la violence se porte sur les enfants.
Pour la femme d’une classe sociale défavorisée les difficultés matérielles sont généralement insurmontables; pour celle de milieu plus riche le problème est un peu modifié car elle a plus facilement les moyens de divorcer par le biais d’un certificat de psychologue ou de psychiatre et peut, ensuite, être relogée dans sa propre famille.
Pour la femme d’une classe sociale défavorisée les difficultés matérielles sont généralement insurmontables; pour celle de milieu plus riche le problème est un peu modifié car elle a plus facilement les moyens de divorcer par le biais d’un certificat de psychologue ou de psychiatre et peut, ensuite, être relogée dans sa propre famille.
- Quoi qu’il en soit, quels secours ces femmes ont-elles à espérer de notre société ?
Dans l’optique actuelle les assistantes sociales et les conseillères conjugales font le maximum pour préserver la cellule familiale, sacro-sainte institution, base de toute exploitation de la femme par l’homme. Si elles adoptent une autre position, ces employées des services sociaux ne peuvent que diriger vers les centres d’hébergement. Ceux-ci abritent pour une période transitoire (de quelques jours à 6 mois) la famille qui arrive mais, en général, les enfants sont séparés de leur mère après un délai très bref pour être placés à l’Assistance publique ... le passage dans ces foyers, phase de transition qui devrait conduire les femmes vers une autonomie sociale en leur facilitant l’accès à la vie professionnelle se résume, le plus souvent, à une période de sur-exploitation - loin d’informer et de donner les moyens de se prendre à charge, ces centres entretiennent l’oppression physique, matérielle et psychologique (les femmes y sont culpabilisées et traitées en irresponsables) et fournissent des recrues aux proxénètes du quartier !
Dans l’optique actuelle les assistantes sociales et les conseillères conjugales font le maximum pour préserver la cellule familiale, sacro-sainte institution, base de toute exploitation de la femme par l’homme. Si elles adoptent une autre position, ces employées des services sociaux ne peuvent que diriger vers les centres d’hébergement. Ceux-ci abritent pour une période transitoire (de quelques jours à 6 mois) la famille qui arrive mais, en général, les enfants sont séparés de leur mère après un délai très bref pour être placés à l’Assistance publique ... le passage dans ces foyers, phase de transition qui devrait conduire les femmes vers une autonomie sociale en leur facilitant l’accès à la vie professionnelle se résume, le plus souvent, à une période de sur-exploitation - loin d’informer et de donner les moyens de se prendre à charge, ces centres entretiennent l’oppression physique, matérielle et psychologique (les femmes y sont culpabilisées et traitées en irresponsables) et fournissent des recrues aux proxénètes du quartier !
Les services hospitaliers ne prennent pas en considération le problème des femmes battues. Les médecins délivrent, à la demande, le classique certificat officiel de coups et blessures et s’empressent de passer au malade suivant. Aucune humaine compassion, aucune possibilité de dialogue. D’ailleurs la femme battue a trop honte pour se confier à une médecin-homme peu enclin à perdre son temps en écoutant des " histoires de bonnes femmes " !
Quel que soit le service dans lequel ces femmes sont admises, le maximum est fait d’un point de vue strictement médical mais, exceptionnellement, on prendra en considération l’être humain qui se cache derrière le cas pathologique.
La police quant à elle, reçoit toujours avec une ironie mêlée de grossièreté, celles qui osent s’aventurer dans ses locaux. De plus, à part la possibilité d’enregistrer une plainte, les policiers n’ont le devoir d’agir que si l’on retrouve ces femmes à demi-mortes, plus ou moins étranglées, ou victimes d’une grave hémorragie ...
En bref, ce qui stupéfie dans les témoignages des femmes que nous avons interrogées c’est que, comme la majorité des organismes sociaux et hospitaliers, la police tolère les formes de violence les plus extrêmes puisqu’elles ont lieu au domicile conjugal. La société moderne, qui est censée prendre le meurtre au sérieux, laisse les femmes à moitié assassinées par leur mari sans leur octroyer la protection de ceux qu’elle rémunère pour porter assistance à ses citoyens !
La police quant à elle, reçoit toujours avec une ironie mêlée de grossièreté, celles qui osent s’aventurer dans ses locaux. De plus, à part la possibilité d’enregistrer une plainte, les policiers n’ont le devoir d’agir que si l’on retrouve ces femmes à demi-mortes, plus ou moins étranglées, ou victimes d’une grave hémorragie ...
En bref, ce qui stupéfie dans les témoignages des femmes que nous avons interrogées c’est que, comme la majorité des organismes sociaux et hospitaliers, la police tolère les formes de violence les plus extrêmes puisqu’elles ont lieu au domicile conjugal. La société moderne, qui est censée prendre le meurtre au sérieux, laisse les femmes à moitié assassinées par leur mari sans leur octroyer la protection de ceux qu’elle rémunère pour porter assistance à ses citoyens !
IV- QUE PROPOSONS-NOUS ?
" S.O.S. FEMMES " créée en octobre 1975, a pour but :
- d’ouvrir une centre d’hébergement fonctionnant 24 heures sur 24 et permettant d’accueillir chaque femme (et ses enfants) dès qu’elle décide de fuir la violence conjugale.
- d’organiser le fonctionnement de ce foyer de manière à ce que chacune participe à sa gestion.
- de permettre aux femmes de s’instruire (cours d’alphabétisation) ou de se perfectionner (formation professionnelle, au besoin en faisant venir sur place des enseignants comme c’est le cas en ANGLETERRE) pouracquérir un métier. Car c’est par l’indépendance économique que commence toute libération.
- de leur apprendre à connaître leurs droits et à réclamer que justice soit faite.
AU PLAN MEDICAL
- de créer des consultations (médecins vacataires) en particulier de pédiatrie, gynécoloqie et psychiatrie.
- d’entreprendre, sous la direction de spécialistes, des séances de thérapies de groupe car l’essentiel, pour ces anciennes femmes battues, est de retrouver confiance en elles-mêmes, d’être valorisées, de rompre l’isolement dans lequel elles vivaient et de nouer des liens d’amitié. Le yoga, la relaxation, (techniques d’expériences vécues dans le corps), seront nécessaires.
- de développer au maximum les possibilité d’autonomie de chacune, de prise de conscience de sa dignité d’être humain et de la valeur qu’il y a d’être FEMME, même dans une société faite par les hommes et pour eux.
- de donner une information sur l’anatomie et la physiologie du corps, la contraception, l’avortement et la sexualité.
De toutes façons, chaque jour, une femme médecin de " S.O.S. FEMMES ALTERNATIVES " passera régler les problèmes médicaux les plus urgents.
POUR LES ENFANTS
De fonder des " crèches-garderies " avec le concours de puéricultrices, des mères, et d’hommes (au moins 2 par crèche). La présence de ces hommes qui enseigneront, amuseront, prépareront les repas, donneront leur temps et leur affection, apportera aux enfants marqués par une vie de violence une nouvelle image de la condition masculine opposée à celle qu’ils avaient jusque là.
V- QUE DEMANDE LE CORPS MEDICAL DE S.O.S. FEMMES ?
1) Des crédits
- pour aménager une salle de consultation et de soins avec un matériel d’urgence (voir liste ci-jointe)
- pour rémunérer les femmes-médecins responsables du Centre et les gardes de nuit de l’infirmière (ou d’une étudiante hospitalière) car il est nécessaire qu’un membre du personnel médical soit présent en permanence.
- pour permettre une surveillance périodique (bilans biologiques, radiologique, etc.) toutes les femmes n’étant pas inscrites à la sécurité sociale et ne bénéficiant pas encore de l’assistance médicale gratuite.
- pour financer les enquêtes et les travaux de recherche ayant pour but de définir de façon scientifique :
a) - le psychisme de la femme battue - et qui se laisse battre, - ou qui reproduit la violence |
b) - les séquelles physiques, morales et psychique dues à la violence |
- frais de fournitures : un dossier médical par personne hébergée au Centre; une machine à écrire;
- frais de photocopie; travaux de bibliographie;
- études proprement dites = rédaction par les médecins des travaux de synthèse (à partir d’un nombre d’observations donné de personnes ayant séjourné dans le foyer un temps suffisamment long); rémunération des heures passées.
2) La coopération de notre association avec les services hospitaliers
Comme le font les " Alcooliques anonymes ", une femme de S.O.S. (médecin ou autre) se déplacerait à l’appel d’une femme battue hospitalisée dont l’anonymat serait respecté.
Déjà nous travaillons avec " S.O.S. médecins ", les " urgences médicales de Paris ", le " foyer du nid " (etc.).
Notre action pourrait s’étendre à d’autres cas multiples qui nous seraient signalés par le personnel des hôpitaux.
- CONCLUSION
La question des femmes battues est capitale dans l’histoire de l’émancipation du sexe féminin. Elle met en lumière la violence entre partenaires qui se sont choisis et pose le problème de la famille telle qu’elle existe dans sa forme actuelle = " famille nucléaire ".
" Si le viol peut sembler accidentel, la violence conjugale est quotidienne ".
Le but de " S.O.S. FEMMES ALTERNATIVE " est de faire retrouver aux femmes la paix qu’elles ont perdue et de donner aux enfants la possibilité en grandissant, de devenir équilibrés et non violents, respectueux et aimants dans leurs rapports avec autrui : promesse d’une modification des relations femme-homme dans l’avenir.
(article rédigé pour obtenir des subventions pour l’ouverture du 1er Centre d’hébergement pour femmes battues en France)
Docteure Michèle Dayras – Juin 1977
Docteure Michèle Dayras – Juin 1977
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Moins de 40 ANS, après cet article, les choses changent?
Le constat reste le même.
le 25 novembre, c'est la Sainte Catherine
Et la célébration de la Journée Internationale
pour l'Elimination de la Violence contre les Femmes
Est ce que ça bouge, dans les faits?
Ce médecin disait :
La présence de ces hommes qui enseigneront, amuseront, prépareront les repas, donneront leur temps et leur affection, apportera aux enfants marqués par une vie de violence une nouvelle image de la condition masculine opposée à celle qu’ils avaient jusque là!
Les enfants nés en 2014 sauront peut être que la violence parentale n'est pas inéluctable, et que le parent qui instaure la violence en héritage (voir le clip en fin d'article) n'est pas un bon parent.
La violence n'est pas l'apanage des hommes, elle est l'arme du parent aliénant, celle du parent dominant.
C'est l'arme du faible, quand aucun discours ne peut justifier les actes, ne reste que la violence pour faire taire toutes demandes d'explication.
Dans une famille, il doit y avoir UNE ÉGALITÉ PARENTALE et bien évidemment AUCUNE FORME DE VIOLENCE NE DOIT Y ÊTRE PERMISE. Il est difficile pour une mère de protéger ses enfants d'un père violent, il l'est plus encore pour un père de protéger ses enfants d'une mère violente.
La violence est aveugle, et l'entourage ferme les yeux.
Qui peut comprendre?
Qui peut aider?
Qui est capable d'écoute?
Celui qui connait les mêmes galères!
J'ai trouvé de l'écoute sur le forum d'internautes créé par Maitre Bogucki.
http://avocats.fr/space/bogucki/content/alienation-parentale--jurisprudence_DE1E61E8-DC7D-45BF-91FE-F0D71256D151
- ce qui change:
Un accueil pour femmes battues dans les commissariats et les gendarmeries
22 04 2014 LE PARISIEN
Nouvelle étape dans la lutte contre les violences faites aux femmes. Une convention entre les associations spécialisées et les forces de l'ordre a été signée vendredi en préfecture d'Evry. Ce dispositif novateur va s'étendre dans toute l'Essonne : des permanences gérées par les membres des associations Paroles de femmes et le Centre d'information sur les droits des femmes et des familles vont s'installer dans les commissariats et les gendarmeries.
« Ce sont des points de relais, au plus près des lieux où les femmes en ont le plus besoin », indique-t-on en préfecture. A Angerville, Méréville, Dourdan, Limours, Arpajon, Mennecy, mais aussi à Massy, Juvisy, Montgeron, ou Corbeil, ces accueils directement dans les brigades serviront à écouter les femmes battues, les aider dans leurs démarches juridiques ou psychologiques.
Des points d'information étaient ouverts depuis six ans à Massy, Evry et Etampes, mais pas dans des locaux occupés par les forces de l'ordre. « Et puis le maillage est mieux réparti », justifie le préfet. Car en 2013, 264 nouvelles femmes ont été accompagnées après des violences. Et 1 500 en tout ont un jour été suivies par les associations.
Mais là encore, la convention va permettre aux policiers et aux gendarmes d'être mieux préparés à affronter la détresse de ces femmes.
Les violences conjugales en hausse de 13 %
(Bizarre les hausses constantes, ne trouvez vous pas? Idem, les restau du coeur n'ont pas fait chuter la pauvreté, qu'est ce qui bug, dans tous ces dispositifs?)
ET LES ASSISTANTES SOCIALES ME DIREZ VOUS...
....QUE FONT ELLES ?
- ce qui ne change pas :
Aujourd'hui, comme hier
Dans l’optique actuelle les assistantes sociales et les conseillères conjugales font le maximum pour préserver la cellule familiale, sacro-sainte institution, base de toute exploitation de la femme par l’homme
Dans l’optique actuelle,
les assistantes sociales
font le maximum pour préserver la cellule familiale,
la sacro-sainte institution,
BASE DE TOUTE EXPLOITATION
de la femme par l’homme
Allo, puis parler à l'assistante sociale?
Si l'on demandait à un citoyen pris au hasard ce que signifie pour lui le 25 novembre, nul doute que cela ne lui évoquerait pas grande chose sauf peut-être la Sainte Catherine s'ila gardé en mémoire de vieilles traditions... C'est pourtant la date choisie par les Nations Unies pour célébrer la Journée Internationale pour l'Elimination de la Violence contre les Femmes
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