dimanche 27 avril 2014

Une thérapie familiale, c'est pas du flan.

Une thérapie familiale, ce n'est pas de l’esbroufe, c'est un véritable soin!
Il y a une problématique : quelqu'un va mal dans la famille. Il faut le sortir de là.
La personne est demandeuse " qu'est ce qui m'arrive?"
La famille aussi: "IL Y A UN GRAIN DE SABLE CHEZ NOUS?",
-  Assurément, docteur, vous voulez connaître notre quotidien, pas de souci. 



Ainsi, selon une équipe de l'Inserm à l'Institut mutualiste Montsouris à Paris: la thérapie familiale montre de bons résultats chez les jeunes filles atteintes d'anorexie mentale sévère.





Il suffit de travailler sur les relations intra-familiales avec les parents.
 Puis, avec la fratrie durant seulement  18 mois après une hospitalisation.

 Pour les patientes, la prise en charge classique est coordonnée par un psychiatre qui rencontre alternativement la jeune fille seule ou accompagnée de ses parents, à un rythme lié à son état. Il évalue son état de santé physique et mental, l'interroge sur son alimentation, son environnement psychosocial et guide les parents dans l’accompagnement de leur enfant. La thérapie familiale associe les parents et les frères et sœurs de plus de 6 ans. Elle ne prend pas en compte l'alimentation en tant que telle mais seulement les relations et la dynamique intrafamiliales.


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